L'auteur, Philippe Raufaste



    C’est par attachement à un très ancien nom de famille des Pyrénées centrales que la trame de cette histoire a été reconstituée.

   Ce nom, éminemment Couseranais, est celui des Raufaste.

   L’auteur est l’un des nombreux descendants de cette famille ariégeoise dont l’origine se perd dans la nuit des temps, mais qui peuple toujours les deux versants des Pyrénées et ceci, depuis les rivages de l’Océan Atlantique jusqu’à ceux de la Mer Méditerranée.

   Ses personnages évoluent toujours dans le contexte  historique réel qui fut le leur et le texte se référe régulièrement à l’épopée wisigothique dont il est issu. L'histoire se situe donc résolument dans l’espace géographique initial du royaume wisigoth de Toulouse, plus précisément entre le cours de la Charente et les Pyrénées, à partir de la signature du fœdus de l’an 418.





Manuscrit du Bréviaire d'Alaric
(Copie du Xe siècle ?)
Conservé à l'Université de Clermont-Ferrand
(Extrait de Wikipedia)


Fibules aquiliformes

wisigothiques

   Lorsque, dans le cours des siècles, son tour fut venu de rendre hommage à ses ancêtres, il se rendit au pays de ses origines, le Couserans, en Ariège. Cette ancienne vicomté, c’est aussi le pays d’Arn-Wulf, l’Aigle-Loup de l’histoire. Il représente la survivance de l’esprit des Goths-Sages qui, entre autres filiations ethniques vécurent en Aquitaine et en Gascogne il y a quinze siècles. 

  Sur la route du Port d'Aula, dans la chapelle Saint-Joseph, en aval des hameaux de Rieu, de Faup et de Raufaste. L’Aigle-Loup était là ! 




Chapelle Saint-Joseph
sur la route du port d'Aula



Autel de la chapelle Saint-Joseph

   Autour de la cascade du Léziou, près de l’Arbre de la Princesse. Il était encore là !

   Sur les pentes du « Portus Alto » (le port de Salau) ou dans la petite église des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem à Salau, ou encore sur le vieux pont de Seix, partout, dans chacune de ces vallées, à chaque instant, l’auteur a eu la chance de le retrouver, car il était toujours là. 

   Il l’a d’ailleurs reconnu tout de suite bien qu’il ait entre temps modifié la tenue de ses origines. Il était toujours bien identifiable, drapé dans son grand manteau rouge et coiffé de sa tête de Loup.




Les sabots de la vallée de Bethmale

« Toquey si gauses ! »



Le château de Foix
(Huile sur toile par Jocelyne Raufaste)




Église des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem
(09140
Salau)
En fait, Arn-Wulf, l’Aigle-Loup, ne se cache jamais, mais comme tous ses semblables dans les mêmes circonstances, il ne se laisse approcher que par ceux qui sont susceptibles de le reconnaître. 

Ce n’est que beaucoup plus tard que l’auteur l’a retrouvé loin de l’extrême Sud-Est du pays des Neuf Peuples et du Couserans. C’était en Saintonge 




Croquis de Jocelyne Raufaste
(une porte sur la Via d'Agrippa)



Thermes et Arènes gallo-romaines de Saintes (17100)

   Cette rencontre eut peut-être lieu alors qu’il sortait de la bibliothèque municipale de Saintes où, l’heure de la retraite venue, il effectuait de patientes recherches.

   À moins que ce ne soit en passant devant l’arc de Germanicus, la porte du pays des Santons  sur la Via d’Agrippa ; ou peut-être encore en revisitant le vieux sanctuaire de Saint-Palais. Ou bien sous les voûtes de l’Abbaye aux Dames, ou sous les thermes de Saint-Saloine ; ou sur les gradins des arènes gallo-romaines. Ce fut de toute façon dans l’éternellement charmeuse Xaintes-la-Coquette que l’Aigle-Loup lui a fait comprendre que pendant toute son enfance, il l’avait côtoyé, lui et ses Wisigoths, sans le savoir et donc sans les voir ! 

    Le moment n’était sans doute pas venu…

    C’est également ici, à la fin des années 1990, que l’Aigle-Loup, Arn-Wulf, lui a demandé avec une pointe de reproche dans la voix : « Pourquoi, tant en Saintonge qu’en Couserans, et dans toute la Gascogne, m'as-tu oublié depuis tant de siècles ? »  

      Il convenait donc que l’auteur lui trouve une réponse !
 




Reproduction autorisée par M. Philippe Camin et le Conseil Général des Landes que nous remercions.

  Et l’idée de ce récit est née lors de la présentation du spectacle « Il était une Foix – Histoires et Légendes d’Ariège ».

Le fil conducteur en fut l’histoire séculaire de Pierre Raufaste et de Jordane Galy, symbolisant la très ancienne rencontre des Celtibères et des Wisigoths.

C’était au Théâtre de Verdure de l‘Espinet, c’était à Foix… et c’était émouvant. 

Il a pris forme lors de l’exceptionnelle exposition « Qui es-tu Wisigoth ? » organisée par le Conseil Général des Landes et la ville d’Aire-sur-l’Adour.



Avec les aimables autorisations de: Jean-Marie Curbières, « Foix, terre d’Histoire »  et Jean-Michel Gadal, « Il était une Foix… »

    Habitants de Gourvillette et de la Saintonge, Gascons des pays de l’Adour et de toute l’ancienne "Vasconie", Occitans de la Malegoude et de toute l’Occitanie, Montanhòls d’Ariège, Catalans du Nord et du Sud de la Gotholania, le Pays des Goths, enfants blonds d’Andalousie et fils des Astures de los Picos d’Europa, cette histoire trop souvent occultée ou déguisée, c’est aussi la vôtre.




287 pages sur papier glacé

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